Les refoulements aux frontières sont illégaux en vertu des traités internationaux relatifs aux réfugiés. La Grèce et la société de garde-frontières et de garde-côtes de l’UE, Frontex, ont en fait été constamment impliquées de repoussements ou de complicité à leur égard. Ils rejettent l’utilisation de telles méthodes.
La Turquie a en fait sauvé 250 demandeurs d’asile repoussés par les autorités côtières grecques de la mer Égée dans les eaux turques.
Les demandeurs d’asile, composés de femmes et d’enfants, ont été emmenés à l’autorité provinciale des migrations après des contrôles de routine, ont déclaré des responsables lundi.
Les garde-côtes turcs ont sauvé huit demandeurs d’asile au large des côtes du district de Marmaris en au sud-ouest de la province de Mugla.
44 autres demandeurs d’asile ont été secourus dans un bateau en plastique au large de la côte nord-ouest de la province de Canakkale.
Dans une autre opération, la Turquie a secouru 61 demandeurs d’asile au large des côtes de la province nord-ouest de Balikesir alors qu’ils tentaient de rejoindre l’île de Lesbos dans un bateau en plastique.
Au cours de 3 opérations différentes, 137 candidats au total ont été secourus par les autorités balnéaires turques au large des côtes de l’ouest de la province d’Izmir.
Après une suggestion selon laquelle il y avait un groupe de candidats à l’asile à bord de 3 bateaux pneumatiques au large de Denizkoy dans le district de Dikili, un bateau du commandement de la Garde côtière a été dépêché sur les lieux.
Quelque 86 demandeurs d’asile dans des bateaux à rames en caoutchouc ont été amenés à terre.
23 autres asile les demandeurs dans un bateau pneumatique repoussé par les équipes des garde-côtes grecs ont été secourus au large du cap Aslan, dans le comté de Foca.
Les commandements des garde-côtes ont également débarqué 28 demandeurs d’asile dans un bateau pneumatique au large du cap Karaabdullah dans le district de Cesme.
La Turquie a condamné à plusieurs reprises la pratique interdite par la Grèce de repousser les demandeurs d’asile, déclarant qu’elle viole les valeurs humanitaires et le droit mondial en menaçant la vie de migrants vulnérables, composés de femmes et d’enfants.
La Turquie a en fait été un point de transit clé pour les demandeurs d’asile ayant l’intention de pénétrer en Europe pour commencer une nouvelle vie, en particulier ceux qui quittent la guerre et les persécutions.
Toute l’actualité en temps réel, est sur L’Entrepreneur