La violence dans l’État du Haut-Nil au Soudan du Sud a en fait éliminé un nombre non identifié de personnes et déplacé un peu plus de 9 000, dont quelques-unes se cachent dans les marécages, Les agences des Nations Unies ont déclaré.
La dernière effusion de sang est une extension des combats qui ont commencé en août dans un village du Haut-Nil et qui ont en fait infecté d’autres parties de l’État et des régions des États de Jonglei et d’Unité, le La société des réfugiés des Nations Unies, le HCR, a déclaré mercredi dans un communiqué.
Le Bureau des Nations Unies pour la coordination des affaires humanitaires (UNOCHA) a déclaré dans l’épisode actuel des combats dans le comté de Fashoda qui a commencé à la mi-novembre, quelque 9 100 personnes avaient été déplacés.
Parmi eux, plus de 2 300 avaient en fait cherché refuge sur le site Web de la sécurité des civils de Malakal, selon un communiqué de l’UNOCHA.
» Selon les intervenants locaux, au moins 75 % des les personnes récemment déplacées sont des femmes et des enfants, avec beaucoup d’enfants séparés de leurs parents rs », a-t-il déclaré.
Le HCR a déclaré qu’au moins 3 000 personnes s’étaient en fait enfuies vers le Soudan voisin.
« Les civils qui s’enfuient sont visiblement traumatisés et signalent des meurtres, des blessures, des violence, enlèvements, extorsion, pillage et incendie de maisons. Beaucoup d’entre eux ont perdu leur maison et ont été séparés de leur foyer », a déclaré le HCR.
La violence est répandue dans certaines régions du Soudan du Sud où les affrontements déclenchés par des conflits régionaux sur les pâturages, l’eau, les locaux de culture et d’autres ressources deviennent généralement meurtriers.
La politique instable du pays peut aggraver les frictions et attiser la violence.
Le Soudan du Sud a déclaré son indépendance du Soudan en 2011.
2 ans plus tard, des combats ont éclaté entre les soldats dévoués au président Salva Kiir et son ex-député devenu rival Riek Machar.
Un accord de paix vérifié en septembre 2018, le dernier d’une série conclu depuis le début du différend fin 2013, tient pour l’essentiel.
La guerre civile du Soudan du Sud, souvent menée selon des critères ethniques, est estimée avoir déclaré près de 400 000 vies.
Source : TRTWorld et agences
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