vendredi, 29 mars 2024

Un autre homme armé prend d’assaut une banque libanaise pour retirer des économies gelées

Un Libanais apporte une arme à feu et un bidon de carburant a en fait retiré ses économies gelées sous la menace d’une arme, le troisième incident de ce type dans le pays en crise aujourd’hui.

Lorsqu’une succursale de la Byblos a ouvert ses portes dans la ville méridionale de Ghaziyeh, un déposant, qui aurait la cinquantaine, a pris d’assaut les installations avec son garçon adulte vendredi.

Il a menacé des employés de avec une arme à feu, qui, selon une chaîne de télévision libanaise, était peut-être un jouet, et a exigé ses économies.

 » Il a vidé un jerrican de carburant sur le sol, », a déclaré un agent de sécurité de la à un journaliste de l’AFP.

Le gars est parti avec environ 19 000 $ et s’est rendu aux flics quelques minutes plus tard alors qu’une foule se formait devant la pour le soutenir.

Il s’agit du plus récent d’une série d’effractions au Liban, où l’épargne des déposants a été dépréciée et piégée dans les banques pendant près de 3 ans au milieu d’une conjoncture économique paralysante crise.

Il s’agit généralement d’actes de désespoir économique commis par des déposants sans casier judiciaire qui tentent de régler les coûts, et ont suscité une grande compassion parmi le grand public.

Mercredi, une jeune femme a braqué une dans le centre de Beyrouth en utilisant une méthode operandi similaire, dans ce qu’elle a dit être une tentative de récupérer les économies de coûts de sa sœur, une patiente atteinte d’un cancer.

Sali Hafiz fr d’être un héros instantané sur les réseaux sociaux, et une image de téléphone debout sur un bureau à l’intérieur de la pendant le cambriolage est devenue virale.

De même mercredi, un gars a braqué une dans la ville d’Aley au nord-est de Beyrouth, a rapporté le principal cabinet d’information national.

Le mois dernier, un type a suscité beaucoup de sympathie après avoir pris d’assaut une de Beyrouth avec un fusil et détenu des membres du personnel et des clients en otage pendant des heures, pour exiger une partie de ses 200 000 $ d’économies gelées pour payer les factures d’un établissement médical pour son père malade.

Il a été détenu mais rapidement relâché.

Le Liban a été endommagé par l’une des pires crises économiques de son histoire.

Sa monnaie a en fait perdu plus de 90 % de sa valeur sur le marché noir, tandis que la pauvreté et le chômage ont grimpé en flèche.

Source : TRTWorld et entreprises

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