Avec le bonheur et l’ennui, nombreux sont ceux qui ressentent un manque de motivation (21 %), tandis que la fierté (20 %) est la troisième émotion la plus typique ressentie par les travailleurs britanniques. L’enquête a porté sur 1 700 travailleurs, composés de cadres supérieurs, de cadres et de professionnels des ressources humaines, ainsi que de 250 magnats, pour comprendre comment les membres du personnel et les dirigeants se portent à travers la Grande-Bretagne et où ils pourraient bénéficier d’un soutien supplémentaire au bureau.
La tranche d’âge la plus susceptible d’être fatiguée au travail est celle de 18 à 24 ans, autrement appelée génération Z (23 %). L’enquête révèle également que ce sont les dirigeants âgés de 18 à 24 ans qui sont les plus préoccupés par la diminution de l’efficacité du personnel (37 %) en raison du travail hybride. Les dirigeants de la génération Z placent cette préoccupation bien plus haut que l’absence de distinction claire entre la vie privée et la vie professionnelle (11 %), ce qui est considéré comme le défi le plus important par les dirigeants âgés de 55 ans (33 %).
L’enquête déclare également que 91 pour cent des dirigeants pensent qu’ils ont effectivement fait valoir leur droit à occuper leur poste, malgré la fréquence du syndrome de l’imposteur. Un chef d’entreprise sur cinq (20 %) estime que, parce qu’il est autodidacte, il n’a pas besoin de participer à des programmes de gestion créés pour développer et renforcer ses capacités. Les propriétaires d’entreprise sont les plus susceptibles d’être divisés sur leur position à l’égard de l’avancement du management : un quart d’entre eux (27 %) se déclarant désireux de suivre davantage de programmes de développement du leadership, tandis qu’un nombre comparable (23 %) déclarent qu’ils sont autodidactes et qu’ils le font donc. n’ont pas l’impression d’avoir besoin d’aide.
2 dirigeants d’entreprise sur cinq (40 %) ont déclaré qu’ils envisageraient de payer pour que les membres de leur personnel s’inscrivent à un programme de développement du management (43 % des directeurs et 37 % des directeurs d’entreprise). propriétaires), tandis qu’un sur cinq (21 %) déclare qu’il ne serait pas le leader qu’il est aujourd’hui s’il n’avait pas participé à des programmes de perfectionnement en leadership dans le passé (24 % d’administrateurs et 19 % de propriétaires d’entreprise).
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