samedi, 20 avril 2024

Anti-anonymat ou anti-liberté ? L’UE interdit les transferts cryptographiques sur les portefeuilles non hébergés

L’Union européenne, le 31 mars, a décidé d’interdire toutes les transactions cryptographiques confidentielles. Les transactions de toute taille, à la fois les payeurs et les destinataires du plus petit paiement de propriété numérique déterminé tomberaient sous le coup de ces poursuites. En général, cela peut être un coup dur pour les partisans de la confidentialité personnelle de la crypto-monnaie en Europe.

Règles anti-anonymat

Les comités ECON et LIBE ont voté pour approuver un amendement anti-blanchiment d’argent à la ligne directrice sur les transferts de fonds (TFR) de l’UE. Il faudrait des fournisseurs de services cryptographiques – généralement des échanges – pour confirmer l’identité des propriétaires des portefeuilles non hébergés avec lesquels ils effectuent des transactions avant une transaction. Il s’applique aux transactions conventionnelles de plus de 1000 EUR à l’ensemble du secteur de la cryptographie.

BREAKING : Les commissions ECON & LIBE du Parlement européen ont voté en faveur des compromis FTR D & E qui sévissent contre portefeuilles « non hébergés ».

L’ensemble du projet de règlement sera soumis au vote plus tard dans la journée, mais sera certainement adopté.

Répartition du vote et autres mises à jour dans ce fil.

— Patrick Hansen (@paddi_hansen) 31 mars 2022

Le vote d’aujourd’hui a dépassé de faibles marges, avec les deux compromis pertinents donnés respectivement par 58/52 et 62/51. Dans l’ensemble, les partis de gauche Renew et S&D ont voté en faveur des changements, tandis que le Parti populaire européen (PPE) de droite a voté contre.

9/ Compromis E. Identique modèle.

Renew et ECR sont en partie divisés sur ces 2 compromis critiques. Reposez-vous le long des lignes de célébration. pic.twitter.com/ZjYSnWS4nK

— Patrick Hansen (@paddi_hansen) 31 mars 2022

Le parti a qualifié les derniers changements d' »interdiction de facto de soi -portefeuilles hébergés ». L’action suivante a nécessité que la toute nouvelle législation fasse l’objet de discussions en trilogue entre les agents du Parlement européen, du Conseil européen et de la Commission européenne dès la mi-avril.

Contre l’anonymat… ou la liberté ?

Pas si remarquable, ces développements ont fait face coup considérable du Conseil et de la Commission et des amateurs de crypto spécifiques dans le monde. L’un des effets était que les transactions entre les portefeuilles non hébergés et les échanges de crypto-monnaie finiraient par être beaucoup plus problématiques et coûteuses.

Ce que le PDG de l’échange de crypto Coinbase basé à San Francisco, Brian Armstrong, a mis en garde. Il considérait cette législation comme « anti-innovation, anti-vie privée et anti-application de la loi ».

1/ Le 31 mars, le Parlement européen votera sur sa proposition de nouvelle surveillance cryptographique. programme. La proposition est anti-innovation, anti-vie privée et anti-application de la loi. Faites entendre votre voix et appelez votre membre ici : https://t.co/b3Ll3xXiW4

— Brian Armstrong– barmstrong.eth (@brian_armstrong) 30 mars 2022

En outre, Tether et Bitfinex CTO, Paolo Ardoino, estimaient que le litige susmentionné représentait une « énorme action en faveur des droits de l’homme ». Inutile de préciser que d’autres amoureux ont réitéré des préoccupations similaires concernant cette décision réglementaire.

Le Crypto Council for Innovation a également soulevé des signaux d’alarme.

« Si elles sont finalement approuvées, ces nouvelles étapes seront créer une intimité personnelle de base, innover et accéder aux problèmes.’

Source : CCI

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