vendredi, 19 avril 2024

Évaluation de la proposition de répression de l’UE sur le commerce de crypto parmi les portefeuilles non dépositaires

La commission des affaires économiques et monétaires du Parlement européen doit tenir une session le 31 mars 2022. Il se dirige vers des clauses réglementaires sur le commerce de crypto avec des portefeuilles non dépositaires. Cette interdiction serait une initiative axée sur la répression du blanchiment d’argent.

Un extrait de la proposition a été vérifié comme suit :

« Le plan AML de la Commission européenne comprend une modification du Règlement sur les transferts de fonds (TFR) qui étendra la responsabilité des banques d’accompagner les transferts de fonds avec des informations sur le payeur et le bénéficiaire aux actifs cryptographiques. »

Qui dirige l’effort ?

Ernest Urtasun et Assita Kano dirigent la tâche et visent à obtenir les votes avant le scrutin. L’initiative serait une attaque directe contre la confidentialité du trading de crypto. Cette directive menacerait davantage les portefeuilles d’auto-garde et briserait le concept de tels portefeuilles.

1/ Je n’aime pas tirer la sonnette d’alarme à nouveau, mais le Parlement européen ne nous laisse pas le choix Cette fois

il s’agit d’une répression des portefeuilles non hébergés dans le prochain règlement crypto AML (TFR).

Le vote du comité ECON aura lieu jeudi et le projet consiste en quelques avertissements purs et simples– Patrick Hansen (@paddi_hansen) 26 mars 2022 Patrick Hansen, avocat de la cryptographie, a soulevé ces

préoccupations sur son fil Twitter. Il a publié quelques « avertissements » dans la proposition qui devraient être pris en compte par l’UE. Selon ses propres termes, « différent de la proposition préliminaire qui ne nécessitait que de

recueillir (et non vérifier) ​​des informations individuelles sur les transferts effectués depuis/vers une ONU -portefeuille hébergé, le brouillon doit maintenant « confirmer l’exactitude des informations concernant le créateur ou le destinataire derrière le portefeuille non hébergé. » »Pour chaque transfert crypto depuis un portefeuille non hébergé supérieur à 1000 EUR, les entreprises sont tenues de notifier les

« autorités AML compétentes. Pour toutes ces transactions, même s’il n’y a aucun signe/suspicion de blanchiment d’argent. Il s’agit d’une violation pure et simple du droit à la vie privée. » Les échanges cryptographiques se sont en fait révélés dangereux ces derniers mois avec des inconvénients encore

à résoudre. Ainsi, la perspective d’avoir l’auto-garde semble possible. Le résultat sera attendu généralement dans tout le quartier crypto. La Grande-Bretagne va également mettre en œuvre le crypto shakedown Le gouvernement fédéral britannique vise à mettre en place davantage de politiques pour les pièces stables dans le pays. Alors que les stablecoins ont en fait

augmenté rapidement au cours des dernières années, il existe des soupçons de blanchiment d’argent et d’autres activités illégales. La toute nouvelle loi devrait être « conviviale » pour Bitcoin, mais peut nuire à la reprise des pièces stables dans le pays. Selon des sources de CNBC, les autorités du Trésor ont en fait révélé leur volonté de comprendre les complexités

du marché de la cryptographie et des soi-disant stablecoins, des biens numériques qui tirent leur valeur des devises existantes comme le dollar américain. Les autorités ont également prévu un délai du 31 mars pour les entreprises du marché de la cryptographie. Les entreprises peuvent être tenues de fermer leurs activités au Royaume-Uni en cas de non-respect de la charte de la Financial Conduct Authority (FCA). Plus de 80 % des entreprises évaluées se sont en fait retirées ou ont été rejetées. La FCA, a en outre déclaré, qu’un « nombre élevé » de services de cryptographie ne satisfont pas aux exigences de lutte contre le blanchiment d’argent, selon CNBC.

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