jeudi, 11 avril 2024

Les entreprises irlandaises de monnaie numérique désormais obligées de s’enregistrer auprès de la banque centrale

Les sociétés de monnaie numérique opérant en Irlande doivent désormais s’enregistrer auprès de la banque centrale du pays, après que de nouvelles directives suggèrent que les entreprises du secteur sont nécessaires pour appliquer des directives strictes de lutte contre le blanchiment d’argent.

Les étapes sont les suivantes: provient d’une exécution nationale de la cinquième instruction anti-blanchiment de l’UE (AMLD5), qui a en fait été transposée dans les statuts irlandais avec la loi Crook Justice Money Laundering and Terrorist Financing Change Act de 2021.

Entreprise considérés comme des fournisseurs de services d’actifs virtuels (VASP) sont désormais tenus de suivre les mêmes règles que les autres sociétés monétaires réglementées. Les étapes couvrent les échanges de crypto-monnaie, les portefeuilles et d’autres sociétés traitant de la monnaie numérique et des propriétés numériques.

Les entreprises qui entrent dans la définition des VASP disposent désormais d’un délai de trois mois pour régulariser leur statut en s’inscrivant auprès du Banque centrale d’Irlande. À compter de maintenant, il est également nécessaire d’effectuer des procédures de connaissance du client, telles que les exigences d’identification, ainsi que d’enquêter sur l’origine des fonds.

Les VASP sont également censés signaler les activités financières suspectes aux autorités , qui fait partie du large éventail de procédures mises en place pour lutter contre les utilisations illicites des monnaies numériques.

Avant l’introduction des nouvelles étapes, les Irlandais pouvaient acheter et vendre de la monnaie numérique sous le couvert de l’anonymat .

Les mesures devraient être les premières d’une longue série de mesures à suivre pour les VASP en Irlande et pour des entreprises comparables ailleurs. La mise en œuvre du sixième règlement anti-blanchiment suivant est prévue pour début juin, ce qui obligera toutes les entreprises au service des consommateurs de l’UE de n’importe où dans le monde à se conformer au nouveau régime rigoureux.

Les entreprises qui cessent de travailler doivent suivre les étapes entraîneront des sanctions considérables ou, dans certains cas, des fermetures, les autorités ayant offert de nouveaux pouvoirs pour sanctionner des entités, ainsi que des individus, ce qui va à l’encontre des directives.

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