vendredi, 19 avril 2024

Le brut américain dépasse les 70 $ pour la première fois en 3 ans

Les coûts du pétrole ont augmenté mercredi, prolongeant les gains pour la deuxième journée consécutive, le brut américain bondissant au-dessus de 70 $ et le Brent a atteint un sommet en deux ans, grâce à une baisse des stocks de brut aux États-Unis selon les données initiales, et le souhait croissant d’une demande de carburant en Europe après la levée des contraintes de voyage, en plus des déclarations du secrétaire d’État américain sur les sanctions financières contre l’Iran.

Le brut américain a augmenté d’environ 0,9% pour atteindre son plus haut niveau de 70,60 $. depuis octobre 2018, à partir du niveau d’ouverture à 70,00 $, et a enregistré le niveau le plus bas à 69,98 $, et le brut Brent a augmenté de plus de 0,9% pour atteindre le niveau de 72,80 $ le baril, le plus élevé depuis mai 2019 Du niveau d’ouverture à 71,24 $, et le niveau le plus bas à 71,16 $.

Le brut américain a atteint 1,1% hier, et le brut Brent a augmenté de 0,9%, suite aux déclarations du secrétaire d’État américain.

L’American Petroleum Institute a rapporté hier dans les premières informations que les actions américaines non raffinées ont chuté 2 0,1 million de barils au cours de la semaine se terminant le 4 juin, tandis que les analystes anticipent une augmentation de 3,5 millions de barils.

Le total des stocks commerciaux américains s’élevait à 481,3 millions de barils, ce qui est le niveau le plus bas depuis la semaine se terminant en février 19, dans une indication favorable des besoins intérieurs des États-Unis.

Les données officielles de l’Energy Info Administration des États-Unis seront publiées plus tard dans la journée, au milieu des projections de stocks à venir de 3,3 millions de barils.

Les prix du pétrole sont également relevés par les perspectives positives de la demande de carburant en Europe, en particulier après la levée des restrictions de voyage sur le vieux continent à la suite des projets de vaccination à grande échelle.

Certaines informations ont révélé que les embouteillages dans 15 Les villes européennes avaient atteint les plus hauts niveaux compte tenu de la pandémie de coronavirus en mars 2020.

Le secrétaire d’État américain Antony Blinken a déclaré mardi qu’il s’y préparait même si l’Iran et les États-Unis revenaient au respect de l’accord nucléaire, nombre les sanctions sévères contre Téhéran resteraient en place.

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