Les coûts du pétrole ont continué d’augmenter alors que le marché américain s’est ouvert lundi, reprenant ses gains après une pause vendredi, pour se diriger vers le deuxième gain mensuel consécutif, grâce aux attentes d’une forte demande internationale au 3ème trimestre, ce qui a compensé l’effet des progrès dans les pourparlers continus avec la relance de l’accord sur le nucléaire iranien de 2015, ce qui pourrait conduire à la levée des sanctions financières américaines contre Téhéran.
Le brut américain a augmenté de 1,1% à 67,29 $ le baril, après l’ouverture à 66,60 $, et a atteint un plus bas à 66,43 $, et le Brent a augmenté de 1,2% à 69,80 $ le baril, après avoir ouvert à 68,99 $, et a atteint un creux de 68,77 $.
Le brut américain a perdu 0,4% vendredi, c’est très première perte en 3 jours sur des prises de bénéfices du plus haut niveau en 2 mois et demi à 67,49 $ le baril.
Le brut Brent a chuté de 0,6%, sa toute première perte en 6 jours, après avoir atteint le plus haut niveau en 2 semaines à 69,82 $ le baril.
Les prix du pétrole ont gagné 3,9% récemment, le quatrième gain hebdomadaire en 5 semaines, grâce aux attentes de amélioration de la demande mondiale et chute du dollar américain par rapport à un panier de devises majeures.
Les coûts du pétrole se dirigent vers un gain mensuel de 5%, grâce à un besoin mondial accru après que les principaux pays ont commencé à assouplir les restrictions de verrouillage de Covid.
La réunion du Comité ministériel conjoint OPEP-Plus, qui se tient pour évaluer l’accord global de réduction de la production et identifier les niveaux de production tout au long du mois de juin.
Des sources ont déclaré que l’OPEP-Plus a récemment déclaré que la collation mondiale est susceptible de consacrer à l’assouplissement constant actuel de l’accord de réduction de la production tout au long de la prochaine conférence début juin, en particulier en raison des attentes croissantes quant à la guérison des besoins internationaux et à une éventuelle augmentation des produits iraniens.
Le gouvernement fédéral iranien et les puissances mondiales ont en fait publié de vastes pourparlers à Vienne depuis avril dans le but d’ouvrir la voie à Téhéran pour revenir au plein respect de l’accord de 2015 en échange de la levée des sanctions financières des États-Unis.
Cela intervient après que l’ancien président américain Donald Trump se soit retiré de l’accord en 2018 et ait réimposé des sanctions financières à Téhéran.
Les professionnels de l’énergie ont prédit que l’Iran pourrait ajouter entre 500 000 et 1,5 million de barils quotidiennement de pétrole une fois les sanctions américaines levées.
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