vendredi, 29 mars 2024

Les accords européens de technologie profonde ont levé 17,7 milliards de dollars l’année dernière – rapport

Les start-up européennes de la deep tech ont clôturé 2022 avec environ 17,7 milliards de dollars, en baisse de 22 % sur l’année, mais toujours 60 % au-dessus des modèles de 2020, selon un nouveau rapport d’information.

Le rapport, publié par Dealroom, Lakestar et Walden, avance l’argument selon lequel, au 2e semestre 2015, la deep tech européenne était le 2e meilleur artiste secteur par secteur ; l’énergie était la première.

L’information est étayée par le sentiment financier. Une étude LP incluse dans l’étude de recherche mentionne la technologie profonde comme le deuxième choix des investisseurs en matière d’innovation, ne proposant que des modèles d’impact sociétal, ou « planète favorable » comme le dit le rapport.

Dans les évaluations des technologies profondes des troisième et quatrième trimestres a chuté de 9 % par rapport aux équivalents de 2021, mais est allé au-delà du financement global à l’échelle du capital-risque qui était en baisse de 45 %.

Le rapport met en évidence quatre secteurs clés sur la frontière émergente de la technologie profonde : l’IA unique, l’avenir de l’informatique, l’énergie unique et technique de zone. En 2022, un montant record de 4,4 milliards de dollars a été investi dans ces 4 secteurs, ce qui a plus que doublé leur apport par rapport aux deux années précédentes. L’avenir de la technologie de calcul en 2023 est déjà sur le point de se préparer. Avant même la fin de janvier, Tech.eu avait en fait suivi 4 grandes divulgations quantiques (Pasqal, Chalmers University of Technology, Welinq et Oxford Ionics.)

Christina Franzeskides, financière de la technologie profonde chez Lakestar, a fait valoir les talents européens de la technologie profonde et la recherche pourrait être davantage exploitée en maximisant la valeur de la propriété intellectuelle des principales universités européennes, qui parrainent généralement la technologie de pointe en créant des entreprises dérivées.

Franzeskides, dont les spécialités sont l’IA, la robotique et le quantique, a ajouté :  » Alors que de nombreux Européens Les succès de la Deep Tech ont leurs racines dans le milieu universitaire, il reste encore beaucoup à faire pour améliorer la procédure de spin-out et libérer la pleine capacité des universités européennes.

 » Il faut faire plus pour prévenir les prédispositions inconscientes. Nous devons essayer d’accomplir la variété d’idées, d’arrière-plans et d’idées, pas seulement en ce qui concerne le genre, nécessaires pour que notre écosystème Deep Tech prospère complètement. « 

Nicolas Autret, partenaire de Walden Catalyst Ventures, a ajouté : « Nous essayons de trouver le prochain Marie Curie ou Max Planck, des chercheurs et des propriétaires d’entreprise qui sortent les technologies perturbatrices du laboratoire et les transforment en objets commerciaux.

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« Dispersées à l’échelle mondiale, ces technologies finissent par s’imposer dans la vie de chacun et ont la possibilité de résoudre certains des nombreux défis auxquels l’humanité est confrontée. »

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