mercredi, 17 avril 2024

Deloitte nie envisager une scission d’activité

Crédit : Fourni

Les quatre grands qui demandent conseil au géant Deloitte ont nié que c’était le cas penser à scinder son service, suite aux reportages des médias.

Le Wall Street Journal (WSJ) a cité « des personnes au courant de l’affaire » après que Deloitte se soit connecté aux prêteurs d’investissement Goldman Sachs. Le PDG de Deloitte, Punit Renjen, a déclaré que le rapport du WSJ était inconditionnellement faux et qu’il restait attaché à sa conception multidisciplinaire.

Cela est resté dans la perspective des rapports actuels selon lesquels Goldman Sachs et JPMorgan Chase encouragent Ernst & Young (EY) sur une éventuelle restructuration, en examinant s’il doit scinder son audit et en demandant conseil aux unités à l’échelle mondiale.

Parmi les 4 grandes sociétés de conseil composées de KPMG et PwC, à l’échelle internationale, les régulateurs ont en fait soulevé des inquiétudes concernant les litiges potentiels d’intérêt concernant l’audit et le conseil à la même entreprise, et si cela compromet leur capacité à effectuer des examens indépendants.

Ce à quoi ressemblera une scission EY au-delà de la séparation de son audit et de la discussion avec les unités n’a pas été détaillé. EY a créé 40 milliards de dollars de revenus internationaux en 2021, dont 13,6 milliards de dollars attribués à son travail d’audit.

Afin d’obtenir l’approbation d’un éventuel plan de scission, EY devra convaincre ses 12 000 partenaires mondiaux dans 140 pays.

Au moment de publier ses résultats, EY a annoncé qu’il investirait 10 milliards de dollars dans les individus, la technologie et les systèmes de gestion de la qualité, avec 2,5 milliards de dollars dans l’innovation au cours des 3 prochaines années.

EY met fortement l’accent sur l’intelligence artificielle (IA), le matériel d’information fiable et les innovations de rupture, ainsi que sur l’écosystème plus large d’alliances stratégiques d’EY.

Il se développera également à partir de la plate-forme technologique client mondiale qui sous-tend ses services et services, qui est utilisée par plus d’un million de clients EY et traite un volume de 250 millions de transactions par jour grâce au déploiement de solutions hybrides et des capacités multi-cloud dans 200 pays.

EY prévoit également d’attirer des professionnels de l’innovation et de l’information, qui dépassent actuellement 44 000 technologues et 22 000 experts en données, constitués d’une équipe d’ingénierie neurodivergente.

Les Big Four ont en fait été actifs dans le domaine de l’acquisition de technologies en Australie et en Nouvelle-Zélande (A/NZ) en particulier, ainsi que sur d’autres marchés essentiels en Asie-Pacifique. EY a en fait récemment acheté des sociétés telles que Blackdot, SecureWorx, Aleron et Open Windows.

Deloitte, d’autre part, a en fait investi dans des entreprises telles qu’Intellify, Entrago, Blended Digital, New Republique, Venntifact, le partenaire d’Oracle Magia Solutions et Sliced ​​Tech. KPMG a acheté des entreprises comme Rubicon Red et Certus APAC de Brisbane. Alors que PwC a effectivement acheté WebSecure.

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