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Coûts de l’informatique et des communications services en Nouvelle-Zélande devrait atteindre un total combiné de 8,9 milliards de dollars d’ici la fin de l’année.
Selon la société d’études Gartner, cela représente une croissance d’environ 6,2 % par rapport aux coûts dans ces secteurs tout au long de 2021, qui s’élevaient à 8,4 milliards de dollars.
Il s’agit d’un taux de développement nettement supérieur aux prévisions internationales, selon lesquelles la société prévoyait une croissance de 3,2 % dans ces secteurs combinés, passant de 2 600 milliards de dollars l’an dernier à 2 700 milliards de dollars d’ici la fin de 2022.
En décomposant les chiffres locaux, le développement des services combinés de la Nouvelle-Zélande provient principalement des services informatiques, ce qui est prévu pour atteindre 4,6 milliards de dollars cette année, ce qui représente un développement de 10 % d’une année sur l’autre.
Les services de communication connaîtront une augmentation relativement modeste de 2,4 %, pour atteindre 4,3 milliards de dollars.
À l’échelle mondiale, les dépenses en services informatiques devraient augmenter de 6,8 %, pour atteindre 1 300 milliards de dollars, tandis que les services d’interactions devraient augmenter de 0,3 %, pour atteindre 1 400 milliards de dollars.
Ces chiffres surviennent alors que les dépenses informatiques générales en Nouvelle-Zélande devraient atteindre 16 milliards de dollars d’ici la fin de l’année, ce qui représente une augmentation de 9,7 % d’une année sur l’autre, tandis que les coûts informatiques internationaux sont attendus augmenter de 4 % pour atteindre 4 400 milliards de dollars sur la même période.
« Cette année s’avère être l’une des années les plus bruyantes jamais enregistrées pour les DSI », a déclaré John-David Lovelock, vice-président de l’étude de Gartner.
« Les perturbations géopolitiques, l’inflation, les fluctuations monétaires et les obstacles à la chaîne d’approvisionnement font partie des nombreux aspects qui se disputent leur temps et leur attention, mais contrairement à ce que nous avons vu au début de 2020, les DSI accélèrent les investissements financiers informatiques car ils identifient la valeur de la polyvalence et de la dextérité pour réagir aux perturbations.
« En conséquence, les choix d’achat et d’investissement seront concentrés sur des domaines tels que l’analyse, le cloud computing, des expériences client fluides et la sécurité. »
Le résultat de l’inflation sur le matériel informatique en particulier commence néanmoins à se réduire et commence à se répercuter sur les services, ainsi que sur les applications logicielles, selon Gartner.
En outre, le fournisseur de technologie ont en fait augmenté les prix de leurs offres en raison d’un manque de compétences informatiques, a poursuivi la société de recherche, ce qui se traduit par des salaires plus compétitifs et, à son tour, contribue à augmenter le développement des dépenses dans les services et les applications logicielles lication.
Gartner ne s’attend pas à ce que l’invasion russe de l’Ukraine ait un effet direct sur les coûts informatiques internationaux, l’inflation des taux et des salaires intégrée à la pénurie de compétences et aux incertitudes de livraison ayant plutôt un effet plus substantiel.
« L’augmentation des logiciels d’application d’entreprise, des logiciels d’installations et des services gérés à court et à long terme démontre que la tendance à la transformation numérique n’est pas un modèle sur un ou deux ans, mais qu’elle est systémique et à long terme -durable », Gartner a gardé à l’esprit.
« Par exemple, l’infrastructure en tant que service (IaaS) sous-tend toutes les principales offres en ligne et applications mobiles axées sur le consommateur, représentant une part substantielle de la croissance de près de 10 % des dépenses en logiciels en 2022. »
Lovelock a ajouté que bien que certaines dépenses informatiques aient été reportées au début de 2022 en raison des récentes vagues de versions COVID-19, consistant en Omicron, cela devrait s’effacer à court terme.
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