vendredi, 29 mars 2024

Aadhaar continue mais l’Inde n’arrive pas à mettre en place sa loi sur la protection des données

Le gouvernement central

fédéral de l’Inde, apparemment si sûr de lui avec sa carte d’identité biométrique Aadhaar florissante, a du mal à faire évoluer la législation sur la protection des données personnelles. Peu connu en dehors du pays d’Asie du Sud

, le programme Baal Aadhaar a déjà attribué 16 millions de cartes d’identité numérotées à des enfants jusqu’à cinq ans. Avec elle, les tuteurs se voient garantir des prestations préscolaires pour leurs enfants. Selon le Hindustan Times, les comptes liés aux cartes d’identité numériques Baal Aadhaar, qui

ont été testés dans l’Uttar Pradesh , sont mis à niveau et revérifiés lorsqu’un enfant vieillit. Le gouvernement fédéral ne recueille pas de données biométriques sur le titulaire du compte enfant, bien que les tuteurs doivent avoir une carte Aadhaar

, et ils sont tenus de se soumettre à un balayage biométrique. La preuve de la relation est accomplie avec les dossiers de l’État, y compris les certificats de naissance. Le mois dernier, l’Inde a ouvert l’accès à son application d’authentification biométrique mobile Aadhaar FaceRd. Il stocke le motif de l’iris et les empreintes digitales du titulaire, et rend apparemment inutile le port d’identifiants physiques. Proposer l’un ou l’autre programme dans de nombreux pays a en fait déclenché ou conduirait très probablement au chaos politique alors que nous discutons de 3 facteurs psychologiques : le contrôle du gouvernement fédéral sur les informations personnelles, la vie privée et la vie numérique des enfants. Et le déploiement serait probablement gêné par des problèmes techniques chronophages. Plus comme la loi sur la protection des données personnelles proposée par l’Inde. Les coûts, ouverts pour la première fois au débat public en 2019, étaient apparemment prêts pour un débat parlementaire jusqu’à cette semaine, date à laquelle ils ont été retirés, selon la publication commerciale TechCrunch. Les défenseurs de la vie privée et les entreprises d’innovation

dont Apple, Amazon, et Meta sont intervenus pour exprimer leurs problèmes. L’Asian Internet Coalition, dominée par les plus grands fournisseurs Web américains, a envoyé en janvier une note de 23 pages aux autorités ministérielles et parlementaires pour faire simplement cela. Parmi ses notes : Changer le nom des coûts. Une localisation stricte des informations nuira à leur capacité à faire des affaires. Ne classez pas les entreprises de réseaux sociaux parmi les éditeurs. L’Internet Flexibility Foundation en Inde a également ajouté des objets. Selon TechCrunch, la fondation estime que les dispositions politiques du projet de loi préfèrent indûment l’industrie. Et ils ne garantissent pas les droits fondamentaux à la vie privée. Que faire si quelque chose garantira les droits fondamentaux à la vie privée

en Inde reste à voir.

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