mardi, 23 avril 2024

Des rumeurs et des querelles affligent le processus d’obtention de l’inscription biométrique des électeurs au Libéria

Par

Ayang Macdonald et Chris Burt

Le grand public La Commission des achats et des concessions (PPCC) du Libéria aurait en fait soutenu l’option du groupe Laxton en tant qu’entrepreneur pour fournir des dispositifs d’électeur biométriques à la nation avant les élections générales de l’année prochaine.

Les médias régionaux affirment néanmoins que le conseiller coprésident de la Commission électorale nationale, Teplah Reeves, a critiqué la procédure de choix et la présidente de la NEC, Davidetta Brown Lansanah, dans un note de service divulguée.

Selon les organes de presse locaux comprenant The Expert, le PPCC a récemment approuvé une demande de « non-objection » faite par le NEC qui avait en fait choisi Laxton comme spécialiste de choix après un exercice d’évaluation de devis.

Choisir Laxton est apparu comme le dénouement d’une controverse persistante qui a secoué le processus de sélection des offres, Lansanah étant critiqué de divers côtés pour attem pting préférer le devis de l’entreprise chinoise Ekemp.

Le PPCC avait en fait refusé les tout premier et deuxième choix de NEC concernant Ekemp, arguant que l’entreprise ne répondait pas à toutes les spécifications du dossier d’appel d’offres, dans une procédure qui non seulement a stimulé réponses des cercles diplomatiques, mais également de certaines des organisations souveraines du Libéria telles que le Sénat.

Comme le rapporte The Expert, la directrice exécutive du PPCC, Roseline Nagbe Kowo, a en fait envoyé une déclaration au président du NEC accusant réception de son demander un avis « sans objection » concernant le choix de Laxton.

Le dossier comprenait également d’autres pièces justificatives en plus des informations du processus de réévaluation qui montraient que seul Laxton, hors de la ré- les devis évalués, se sont avérés suffisamment réactifs pour satisfaire aux exigences de nouvelle démonstration.

La déclaration du PPCC, citée par la publication, note que le NEC a également « envoyé un projet de contrat reflétant les délais et les délais proposés pour r livrables d’approvisionnement pour la fourniture et la livraison de l’équipement biométrique, des logiciels et des matériaux. »

« Cette » non objection » est donc rendue pour que le NEC attribue un contrat au groupe Laxton d’un montant de 11 956 834,32 USD pour la fourniture et l’expédition d’équipements d’enregistrement biométrique des citoyens, d’applications logicielles et de produits pour les élections présidentielles et législatives de 2023″, une partie de la déclaration vérifiée.

Tout en offrant son accord, le PPCC a également conseillé le NEC de lui soumettre une copie finale de l’accord qui sera accordé à Laxton pour validation et rapport. Jusqu’à ce que l’accord soit officiellement finalisé, tous les rapports doivent être considérés avec une certaine incertitude.

Le NEC n’a pas encore répondu aux demandes de Biometric Update pour la vérification du choix de Laxton Group au moment de la presse. Laxton n’a pas non plus réagi à une demande de discussion sur les développements les plus récents.

Le conflit s’éternise au NEC

The Observer rapporte que la note de service divulguée de Cllr. Reeves se plaint que la décision la plus récente du NEC a été prise « unilatéralement ». Elle déclare avoir été étonnée par les rapports selon lesquels la décision avait effectivement été prise.

La note de service exprimait des inquiétudes quant à l’utilisation d’ordinateurs portables plutôt que de tablettes tout au long de la démonstration, du calendrier et des dossiers financiers fournis par Laxton, selon l’Observateur et Front Page Africa. Ce dernier rapporte également que Teage Jalloh, en tant que président du comité d’examen des devis et conseiller juridique du NEC, a dû se récuser de la procédure.

L’exactitude des rapports concernant les documents présumés égouttés ne peut être validé par Mise à jour biométrique.

Le gouvernement fédéral libérien affirme que la décision de présenter la biométrie dans le système électoral vise à rendre le processus plus crédible et à réduire les événements de violence électorale.

La procédure d’enregistrement biométrique des citoyens devrait s’étendre du 15 décembre 2022 au 17 mars 2023, avec des élections prévues pour octobre, selon les rapports.

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