jeudi, 18 avril 2024

La France explore la vérification de l’âge pour accéder au contenu pour adultes

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) en France a en fait développé un logiciel modèle pour valider l’âge des personnes qui désirent du contenu en ligne sur le thème des adultes. La CNIL a créé l’outil en partenariat avec Olivier Blazy, professeur à l’École Polytechnique, et le Pôle d’Expertise de la Régulation Numérique de l’État. La commission entre maintenant en contact avec les administrateurs du site pour mettre en place des systèmes de contrôle de l’âge

pour empêcher l’accès au contenu pour adultes tout en respectant la vie privée des utilisateurs. Dans un article de blog (en français) mardi, la CNIL a également confirmé qu’elle ne publierait pas une analyse différente des outils de confirmation de l’âge, car sa position reste la même depuis ses revendications de 2022. Cela indique que l’analyse faciale pour l’estimation de l’âge basée sur des informations biométriques est acceptable, tout comme la validation d’une carte de paiement, alors que la reconnaissance faciale ne l’est pas. À l’époque, la CNIL a demandé des méthodes de confirmation d’âge supplémentaires créées pour limiter l’accès des enfants en ligne.

La commission s’étend maintenant sur ce point. La commission a publié une déclaration indiquant « [Nous] traiterons avec Arcom et le gouvernement fédéral pour

assurer la conformité avec le règlement général sur la protection des données (GDPR) des futurs services. » Au même moment, l’entité a précisé qu’elle avait aucun direct requis pour suivre l’efficacité de la confirmation pour les sites adultes. « Le RGPD n’est pas incompatible avec le contrôle de l’âge pour l’accès aux sites adultes, qui est proposé par la loi », compose la CNIL.

Le régulateur veut un contrôle de l’âge être exploité par un organisme distinct de l’éditeur du site visité, de sorte que l’entité fournissant l’assurance de l’âge comprenne qui est la personne, mais pas le site qu’elle consulte, et que le site sache que la personne est majeure, mais pas qui ils sont. En définitive, il appartient néanmoins aux propriétaires de sites pornographiques de sélectionner et de mettre en œuvre les moyens de se conformer aux exigences légales en matière de contrôle de l’âge relevant de l’Autorité de Régulation de l’Interaction Audiovisuelle et Numérique (Arcom) et du pouvoir judiciaire. Il y a quelques jours à peine, le ministre français du numérique, Jean-Noël Barrot, a révélé des mesures rigoureuses pour garantir que les enfants du pays ne pourront pas accéder aux sites pornographiques d’ici la fin de 2023.

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