mardi, 23 avril 2024

Le gouvernement américain est attentif à la politique des données biométriques. Ce n’est pas la première oreille….

Un autre jour, un autre message sans ambiguïté aux autorités gouvernementales fédérales et aux dirigeants d’organisations au sujet des données biométriques – ne vous en faites pas.

Les gens doivent régir ce qu’il advient de leurs informations biométriques, et lorsque quelqu’un décide de laisser ses données être collectées, l’entité de collecte doit les traiter comme la ressource importante et unique qu’elles sont.

C’est ce que le bureau américain de la politique scientifique et technologique a entendu après avoir publié l’automne dernier une demande d’informations sur l’utilisation grand public et personnelle des outils biométriques. Compte tenu du sentiment général en faveur de la protection de la vie privée recueilli lors de deux occasions en direct et de 130 soumissions écrites, la répartition des commentateurs était surprenante.

Un peu plus d’un tiers de ceux qui composent provenaient du service. Vingt-neuf pour cent opéraient dans des groupes de défense et des fondations à but non lucratif. Une réaction écrite sur cinq provenait de la communauté universitaire. Les derniers 15 % des réponses provenaient de fonctionnaires fédéraux, de membres de syndicats et de personnes non affiliées.

Les orateurs étaient moins catégorisés. La société civile et les groupes de défense se sont fait le plus entendre, mais les agents du marché ont occupé le plus de sièges.

L’institut d’analyse de la défense Institute for Defense Analyzes a recueilli les commentaires dans un rapport récent.

L’ensemble des actions fait des points qui sont désormais bien connus sur l’ensemble du marché et au moins certains responsables du gouvernement fédéral au niveau du sol.

Au-delà de donner aux gens la fermeté de leurs identifiants biométriques, les participants (pas dans leur ensemble ; il reste de grandes différences dans la société) s’est inquiété des outils biométriques biaisés et des risques pour la liberté d’expression et d’association présentés par la surveillance biométrique.

Il est fascinant de noter qu’une personne parmi les suggestions était « d’intégrer dans la loi existante et lignes directrices » couvrant la vie privée, les libertés civiles, la non-discrimination et les droits de l’homme. Il n’est pas rare que les observateurs se sentent dépassés par le travail d’élaboration de nouvelles directives, ce qui peut étouffer les conversations requises.

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