à distance de leur intention de migrer. Les foules aux clôtures et aux centres frontaliers ont en fait amené des méchants victimisant ou peut-être attaquant des personnes en grande partie sans défense. Il existe souvent quelques ressources sur les sites Web que la plupart des résidents de l’un ou l’autre des pays reconnaîtraient comme un logement sûr. Les gouvernements des deux pays sont critiqués par les partisans de l’immigration, car les téléphones pratiques sont généralement rares parmi les demandeurs d’asile lorsqu’ils arrivent aux portes du Mexique et des États-Unis. La version américaine, CBP One, logiciel publié par Customs and Border Protection, une unité au sein de Homeland Defense. CBP One a également été mis au pilori pour ses mauvaises performances. Selon des reportages de la chaîne de télévision câblée CNN, COMAR, la société mexicaine d’assistance aux réfugiés, les ressources frontalières du pays sont poussées à leur limite par le nombre d’individus cherchant la sécurité depuis l’Amérique centrale et les Caraïbes. L’application, qui n’a en fait pas été largement annoncée sur le site du gouvernement fédéral mexicain, s’appelle le système de préinscription. Il sera distribué à partir de la semaine du
5 juin et ne fonctionnera initialement qu’à Mexico, où se trouvent de nombreux espoirs de migration. Fin mars, le Mexique a révélé un « système de pré-enregistrement » en ligne pour les voyageurs colombiens, mais il n’est pas clair s’il s’agit exactement du même logiciel dont on parle maintenant.
CBP One a un large mandat. Selon l’évaluation d’impact sur la vie privée de 35 pages du gouvernement de CBP One, il a des fonctions destinées aux touristes, importateurs, courtiers, fournisseurs
et organisations mondiales. L’application est intégrée au service de reconnaissance Login.gov du gouvernement. Les défenseurs des droits de l’homme continuent de dénoncer les caractéristiques obligatoires de CBP One. Selon Amnesty International, faire de l’application le moyen de facto de chercher refuge au-delà des frontières est une « violation manifeste du
droit mondial des droits de l’homme ».
Toute l’actualité en temps réel, est sur L’Entrepreneur