vendredi, 29 mars 2024

Le Parlement européen veut garder l’option pour l’interdiction de la surveillance biométrique

Un membre allemand du Parlement européen rapporte que cet organisme a agi pour maintenir la recommandation d’une restriction sur la surveillance biométrique de masse par la police dans un rapport.

Les membres ont fait pas voter pour interdire l’utilisation aveugle par le gouvernement fédéral de la reconnaissance faciale et d’autres éléments biométriques pour la surveillance dans les espaces publics. Ils ont voté pour rejeter un appel visant à retirer un tel appel d’un rapport soumis par la commission parlementaire des libertés civiles, de la justice et des affaires intérieures, appelé LIBE.

L’ a en fait travaillé ce terrain dans le passé sans aller avec une restriction. Sur le plan médico-légal, le Conseil européen s’est efforcé d’intégrer les systèmes de biométrie faciale dans tous les États membres.

Le rapport en question est une longue et large déclaration appelant au développement et à l’utilisation éthiques des systèmes d’IA utilisés pour surveiller les personnes dans l’Union européenne. Il traite de tous les principes importants défendus par des individus du monde entier qui craignent un État policier numérique sans entraves à la gestion humaine ou aux problèmes des droits de l’homme.

Il va plus loin que ce qui était politiquement approprié dans les économies établies en déclarant que « toute application générale de l’IA à des fins de surveillance de masse serait disproportionnée. »

Il appelle la Commission européenne à « mettre en œuvre, par des moyens légaux et non législatifs… une restriction sur tout traitement de des informations biométriques, y compris des images faciales, pour les fonctions d’application de la loi qui conduisent à une surveillance de masse dans les zones accessibles au public. »

Le Parlement n’a en fait pas rendu public le différend ni le vote final sur la suppression de la suggestion.

Le député européen Patrick Breyer, membre du Parti pirate affilié à la coalition Verts/Alliance libre européenne, a informé Biometric Update dans un e-mail mardi que le décompte était de 403 membres contre la suppression de la langue, 259 pour la grève et 30 abstention.

Le texte complet du rapport a été adopté par 377 voix pour et 248 contre avec 62 abstentions.

Le vote intervient alors que l’Union européenne se rapproche d’un vote sur sa loi sur le système expert.

La Chine est censée avoir produit un ensemble national de concepts d’IA, mais ils semblent longs en principe et courts en composés.

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