jeudi, 18 avril 2024

Les déploiements chinois de reconnaissance faciale en Inde et en Europe déclenchent des avertissements

Les tâches de surveillance de fabrication chinoise, y compris la biométrie, se sont en fait accélérées en Inde récemment, qui ont été développées à la suite d’attaques terroristes dans le pays pour améliorer la sécurité intérieure, selon l’ONG indienne Web Liberty Foundation (IFF).

IFF affirme que les innovations chinoises en matière de reconnaissance faciale ont en fait été établies de manière injuste ou incorrecte, et qu’en l’absence de lois indiennes sur la protection des données, les systèmes pourraient avoir de graves conséquences pour les résidents indiens. Bien qu’en septembre 2020, le gouvernement fédéral indien réfléchissait à une législation pour protéger les informations individuelles, consistant en des informations biométriques, la loi n’a pas encore été mise en œuvre.

Le géant de la technologie Huawei est chargé de fournir des innovations en matière de sécurité à plus de cinquante pays tous dans le monde, écrit IFF, et en 2019, le gouvernement fédéral de Delhi a travaillé avec l’entreprise chinoise HikVision pour établir 150 000 vidéosurveillance dans la ville, tandis qu’une usine de production de ces caméras vidéo a été développée l’année dernière.

Création de la base de données pour les systèmes de suivi criminel en Inde se composent de The Criminal Activity and Criminal Tracking Network and Systems (CCTNS) Job et The National Intelligence Grid (NATGRID), qui permettent tous deux aux agences utilisatrices d’accéder aux données collectées à partir de différentes bases de données pour lutter contre les activités criminelles.

Les inquiétudes concernant l’Inde font suite à des rapports sur quelques-unes des utilisations de la reconnaissance faciale par la Chine sur les citoyens, telles que le ciblage de la population minoritaire ouïghoure.

Ressource s devraient être orientés vers l’amélioration de la qualité de vie en Inde, comme les infrastructures de santé publique, et non sur la construction d’une routine de sécurité qui traumatisera davantage les Indiens, conclut l’IFF.

Les députés européens s’inquiètent du travail de surveillance chinois en Serbie

Un projet de surveillance à Belgrade, en Serbie, mis en œuvre par Huawei, suscite également l’inquiétude des responsables du gouvernement fédéral européen concernant les dangers potentiels posés par le réseau de caméras de sécurité intelligentes dans la ville, écrit Euractiv.

La tâche « Safe City » a commencé en 2019, en utilisant la reconnaissance faciale équipée de caméras vidéo pour identifier et vérifier les individus à partir d’une image numérique.

« Nous ne savons toujours pas comment cet équipement a été acquis. Etant donné qu’il s’agit d’une technologie haut de gamme, nous ne savons pas non plus comment elle sera conservée. Nous espérons que les autorités serbes seront en mesure de clarifier les deux aspects pour nous », a déclaré l’eurodéputée Gwendoline Delbos-Corfield (Verts/ALE, France). Elle comprend qu’une personne des objectifs de la tâche est de ne pas permettre aux voix dissidentes.

Les défenseurs des droits de l’homme ont en fait ouvertement critiqué le système, qui aura également des capacités de reconnaissance des plaques d’immatriculation. Bien qu’il soit utilisé en Chine, l’Europe a mis en place des lois concernant les pratiques de sécurité biométrique – bien que certains aient récemment soutenu que Les lois européennes ne sont pas assez strictes.

Des députés européens sont identifiés pour soulever la question de la tâche avec leurs équivalents serbes et ont actuellement rédigé une lettre à ce sujet au ministre de l’Intérieur serbe.

Une dispute publique a jusqu’à présent été empêchée sur le projet, selon Euractiv.

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