mardi, 16 avril 2024

Les identifiants biométriques sous-performants ou accompagnant les tensions internationales

Les documents de voyage font partie de ces réalités de la vie qui semblent tout simplement indispensables lorsque le monde semble aller en enfer. Et les documents de voyage et d’identité semblent vraiment cruciaux partout en ce moment.

Quatre rapports récents sur les pièces d’identité biométriques du monde entier montrent ce point.

Au Canada, Global News rapporte que les données biométriques ralentissent vraiment la ruée vers l’acceptation des réfugiés de guerre d’Ukraine.

Une indication sur la fenêtre de l’entrepreneur de visas VFS Worldwide à Berlin dit que la forte demande de documents a obligé le personnel à avoir besoin de nominations difficiles à obtenir pour toute personne ayant besoin d’obtenir des consultations d’images et d’empreintes digitales, ce qui complique et reporte les choix de statut de réfugié, selon Globalnews .ca.

VFS Global est un énorme spécialiste gouvernemental qui gère les demandes de visa pour la majorité des pays. Le bureau a expliqué ci-dessus les procédures de demande pour les personnes souhaitant faire un voyage au Canada.

Pour tenter de résoudre cet embouteillage, le gouvernement fédéral canadien a choisi de simplement cesser d’exiger la collecte de données biométriques auprès d’enfants ukrainiens, les personnes âgées de ce pays s’enfuient et ceux qui ont obtenu un visa canadien au cours des 10 dernières années.

(De même, aux Pays-Bas, le Conseil à but non lucratif pour les réfugiés a en fait demandé aux banques d’être moins rigide sur les consommateurs potentiels arrivant d’Ukraine ayant des identifiants biométriques pour ouvrir des comptes.)

Selon Globalnews.ca, le gouvernement fédéral traite 93 % des demandes ukrainiennes dans les deux semaines. Si cette statistique reste légitime, elle en dit long sur la circulation des réfugiés au Canada.

L’histoire se poursuit en rapportant des allégations selon lesquelles VFS International est essentiellement un monopole indifférent (notant les obstacles substantiels au retour du service au contrôle du gouvernement fédéral). L’entreprise est censée déployer également plus d’efforts dans des services et des hébergements sur mesure, consistant en des salons bien équipés facilement disponibles moyennant un tarif. Le trottoir est l’endroit où tout le monde attend le service.

Une odeur de corruption vient du Mali, en Afrique de l’Ouest aussi.

Les autorités maliennes ont « convoqué » le ministre français des Affaires étrangères, selon Le radiodiffuseur français RFI, pour un différend en 2015 sur la fabrication des passeports biométriques maliens.

Le gouvernement fédéral français est accusé d’avoir encouragé un ancien président malien à changer une entreprise canadienne d’identification numérique avec une autre société maintenant connue sous le nom d’Idemia.

Il est peu probable que cette situation soit résolue rapidement.

La junte militaire du Mali abandonne apparemment les accords de défense que le gouvernement fédéral précédent avait en fait signés avec la France et d’autres pays européens. Il aurait également invité sur son territoire Wagner, une société mercenaire russe

Les dirigeants ne semblent pas conciliants.

Terroriste présumé trouvé avec une identification biométrique trompeuse

À l’autre bout du monde, l’État malaisien de Sabah prend des mesures concernant ses identifiants biométriques qui pourraient être vérifiés comme séparatistes.

Une principale du gouvernement affirme que les autorités de Manille ont appréhendé un terroriste Abu Sayyaf faire un voyage avec un passeport philippin falsifié et MyKad, la carte d’identité nationale biométrique malaisienne.

L’État exige ses propres pièces d’identité biométriques car la variante nationale a en fait perdu son intégrité.

Au même moment, les dirigeants de Sabah sont bouleversés par la réponse du gouvernement fédéral national aux immigrants illégaux dans l’État.

Les dirigeants politiques nationaux ont proposé de délivrer une carte de ressortissant étranger. On ne sait pas de loin quel est le problème exact, mais les dirigeants locaux semblent convaincus qu’ils peuvent faire une bien meilleure tâche de police de leurs fichiers d’identité.

Un chef politique d’État est cité dans The Star en disant le gouvernement national devrait « soutenir les objectifs de Sabah ».

La Malaisie envisage également de déployer une identification numérique basée sur la biométrie.

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