jeudi, 18 avril 2024

L’ORF publie une note d’orientation sur l’infrastructure publique numérique pour les membres du G20

Observer

Research Foundation (ORF), un groupe de réflexion mondial basé à Delhi, en Inde, a en fait publié un tout nouveau court métrage soulignant l’importance de l’interopérabilité du public numérique systèmes d’infrastructure (DPI).

Le tout nouveau rapport fournit des suggestions politiques aux membres du G20, décrivant des exemples tels que l’India Stack, qui inclut l’identifiant unique du pays Aadhaar, et la plateforme de santé numérique brésilienne Open Santé Brésil. Il a également examiné l’évaluation de l’impact de politiques telles que la loi sur les marchés numériques de l’Union européenne dans la réglementation des plateformes numériques.

Au cours des dernières années, le monde a connu une augmentation des services numériques, comprenant l’identité numérique, les paiements et une grande variété de services gouvernementaux. L’une des tâches les plus fascinantes des installations publiques numériques (DPI) provient de l’Inde, qui a présenté ses éléments numériques à d’autres pays tout au long des conférences du G20 après avoir assumé la présidence de l’organisation en décembre.

ORF estime que les plates-formes utilisant les services numériques sont incapables de faire évoluer leurs entreprises et finissent généralement par sécuriser les utilisateurs au sein de leurs systèmes. Cela implique que le marché ne peut pas garantir des « résultats économiques équitables ».

Selon le résumé, l’interopérabilité est la clé pour résoudre ces problèmes, l’ORF résumant ses recommandations pour parvenir à l’interopérabilité en trois points :

Le premier consiste à résoudre les gatekeepers. L’une des principales difficultés pour atteindre l’interopérabilité est les gardiens qui bloquent les options alternatives pour les installations publiques.

La deuxième est d’éliminer les barrières pour les rivaux de plus petite taille : la réalisation de l’interopérabilité impliquera que les plus petits concurrents seront en mesure d’offrir leurs services, favoriser l’inclusivité sans toujours briser les monopoles établis.

Le 3ème est une réglementation nationale différente. La réglementation aboutit à des marchés fragmentés ainsi qu’à des coûts de mise en conformité plus élevés pour les acteurs. Si les pays du G20 consentent à l’interopérabilité, cela pourrait rendre les services liés à l’infrastructure publique numérique pratiques dans toutes les juridictions, réduisant les dépenses à la fois pour les plateformes de contrôle d’accès numérique et leurs rivaux de plus petite taille.

Le court métrage a été rédigé par Pencho Kuzev, consultant politique à la Konrad-Adenauer-Foundation en Allemagne, et Ian Hall, professeur à l’Université Griffith en Australie.

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