L’étude résumée par la publication technologique ICTworks suggère que, quelle que soit l’énorme collecte d’informations biométriques par les gouvernements fédéraux pour des fonctions telles que l’enregistrement de la carte SIM, la carte d’identité nationale, la délivrance d’un passeport ou d’un permis de chauffeur, de nombreux pays ne satisfont pas à la confidentialité des données. garanties offertes par le droit international des droits de l’homme.
Un certain nombre de pays, selon le rapport, ne respectent pas les exigences du principe 40 de la déclaration de la CADHP qui garantit le droit des personnes à la confidentialité et à la sécurité de leurs informations individuelles, et de même Concept 42 de la même Déclaration qui exhorte st veille à mettre en place des programmes juridiques appropriés qui protègent les données individuelles conformément aux prescriptions du droit international des droits de l’homme, garde à l’esprit ICTworks.
La recherche révèle également que certains pays ont des lois sur la sécurité de l’information qui sont imparfaites, insuffisantes ou pas totalement réalisé, et dans de nombreux cas, avec peu ou pas de mécanismes de surveillance solides pour s’assurer de la conformité réglementaire.
Un autre problème remarqué par les scientifiques est la facilité avec laquelle des tiers tels que les agences de sécurité peuvent avoir l’accès à la biométrie et à d’autres informations sous prétexte de faire respecter la loi et l’ordre. Ils citent l’Algérie comme exemple de pays où la loi sur la défense des données personnelles permet le traitement de données personnelles délicates pour le bien public.
Le rapport reconnaît que la collecte massive de données est un risque pour la confidentialité des données personnelles. et les gouvernements africains doivent donc mettre en place des lois de localisation qui ont la capacité de protéger efficacement les informations biométriques des personnes collectées pour un usage officiel.
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