L’U.S. Air Force souhaite en savoir plus sur les dispositifs portables de qualité commerciale susceptibles d’aider à contenir les infections virales dangereuses. Il a informations demandées de tous les arrivants.
Sur la liste de souhaits des officiels, il y a quelque chose de petit, probablement porté au poignet, qui peut collecter des informations biométriques menant à l’identification d’une infection, limitant éventuellement la capacité de l’agent pathogène à rendre malade ou à tuer de grandes populations.
Les données recherchées ne sont pas inhabituelles, mais elles semblent être plus que ce que la plupart des trackers de fitness enregistrent. Parmi les plus ésotériques : la variabilité de la fréquence cardiaque et l’intervalle entre les battements.
Mais l’Air Force ne veut pas de localisation ni de collecte d’informations personnellement identifiables, donc les données ne sont pas destinées à être utilisées pour l’authentification biométrique. L’Air Force prévoit de devoir intégrer toutes les données anonymisées des appareils parmi « des dizaines de flux de données commerciaux ».
Il ne devrait pas y avoir de pénurie de fournisseurs potentiels parmi lesquels choisir.
Les trackers de fitness sont depuis un certain temps considérés comme une méthode pratique de surveillance de la santé des porteurs à la recherche de signes de COVID. Nymi propose un bracelet qui peut alerter les gens sur la distanciation sociale et effectuer une recherche des contacts.
L’astuce sera l’intégration avec des produits et des systèmes militaires concurrents ; se conformer aux règles de confidentialité de l’Air Force et, bien sûr, maintenir une cybersécurité de premier ordre.
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