vendredi, 29 mars 2024

Un nouvel outil éthique de reconnaissance faciale testé aux Pays-Bas

Un travail pilote de vérification de la réalité a été introduit aux Pays-Bas pour voir si une structure de gouvernance proposée peut atténuer les risques intrinsèques à la sécurité de la reconnaissance faciale.

Le travail est présenté et expliqué dans un tout nouveau livre blanc publié par le Forum économique mondial public-privé.

Le résultat n’est pas suggéré comme une norme pour l’utilisation éthique de la surveillance biométrique, mais plutôt comme un « ensemble commun de principes proposés » pour le même. Il comprend également un outil d’auto-évaluation permettant aux services de police de vérifier à quel point ils respectent les principes.

Les outils d’éthique de l’IA sont de plus en plus variés ces derniers temps, un développement naturel (et bienvenu) après une période prolongée de réflexion conceptuelle.

Parmi les auteurs du livre blanc se trouve Marjolein Smit-Arnold Bik, chef des opérations de police uniques aux Pays-Bas. Parmi les autres auteurs, citons Cyril Gout, directeur du soutien opérationnel et de l’analyse pour Interpol, et Irakli Beridze, chef d’un centre d’IA au sein de l’Institut interrégional de criminalité et de justice des Nations Unies. Le quartier du projet comprend également Patrick Grother, responsable des normes biométriques et des tests du NIST.

Les autorités néerlandaises et les enquêteurs d’Interpol ont l’habitude d’utiliser des systèmes de reconnaissance faciale pour l’identification et l’authentification, selon le document.

Ils utilisent également tous les deux des examinateurs faciaux, qui sont considérés comme des professionnels de l’analyse biométrique. Ces examinateurs travaillent de manière autonome par rapport aux enquêteurs privés d’infractions pénales, en utilisant des images de sonde et des bases de données.

Au fur et à mesure que la tâche pilote avance, les agents des forces de l’ordre utiliseront de longs principes énumérés avec des titres de haut niveau tels que le respect des droits humains et droits fondamentaux, utilisation essentielle et proportionnée, ouverture.

D’autres rubriques pourraient ne pas être aussi familières à certains gouvernements qui se penchent encore sur les normes opérationnelles, telles que l’utilisation d’images de sonde et de bases de données de référence, la stabilité et le risque d’images et de métadonnées. méthodes d’atténuation.

Certaines des mêmes rubriques, naturellement, apparaissent dans l’outil d’éthique de la reconnaissance faciale. L’outil est créé pour que certains décideurs politiques et responsables opérationnels ne perdent pas de vue leur responsabilité de sécuriser et de servir leurs électeurs.

Tout au long du projet pilote, les agences feront évoluer la structure de gouvernance pour voir si elle est sensé et efficace. Les résultats seront utilisés pour améliorer la structure. Aucune date n’a été fixée pour l’achèvement.

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