va de l’avant avec des stratégies visant à déployer la reconnaissance faciale en direct dans les espaces publics à des fins d’examens criminels.
Le Times of Israel rapporte que le Le Comité Ministériel de Législation a tenu une séance unique pour approuver l’approbation préliminaire d’une dépense qui fournirait la base juridique pour la divulgation des données biométriques.
Les coûts sont co-parrainés par le ministre de la Justice Yariv Levin et le ministre de la Sécurité nationale Itamar Ben Gvir, qui l’ont présenté en avant-première en février. Elle devra être autorisée par la Knesset avant de pouvoir être promulguée.
La législation proposée autorise l’utilisation de la technologie de reconnaissance faciale pour l’examen et la prévention d’infractions pénales graves, et établit également rétroactivement la base juridique pour le programme controversé de reconnaissance des plaques d’immatriculation Hawk-Eye.
Les flics seraient en mesure de rechercher l’approbation d’un officier supérieur et d’utiliser ainsi la reconnaissance faciale sur toutes les caméras couvrant les routes qui accèdent à une zone particulière où il existe une forte possibilité de risque grave pour la sécurité personnelle ou la sécurité de l’État. L’approbation durerait six mois, avec une prolongation supplémentaire de six mois possible.
La police signalerait ensuite toutes les utilisations de la reconnaissance faciale à la Knesset et au procureur général des États-Unis sur une base annuelle.
Le projet de loi existe dans le cadre d’une action contre une vague de violence affectant la communauté arabe d’Israël, dans laquelle le nombre de victimes de meurtres est plus du double de celui de 2015 jusqu’à présent.
A un déploiement douteux de la reconnaissance faciale en Cisjordanie a déjà été allégué.
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