La Commission européenne a décidé que les compagnies aériennes pourront proposer la dernière innovation 5G dans les avions. Dans un communiqué cette semaine, Bruxelles a confirmé que les voyageurs aériens pourront utiliser la norme avec les générations précédentes de technologie mobile.
La nouvelle intervient alors que la Commission a mis à jour la décision d’exécution sur le spectre pour les communications mobiles à bord des avions. Plus précisément, Bruxelles a désigné certaines fréquences pour l’innovation 5G en vol.
Depuis 2008, la décision d’exécution de la Commission a réservé des fréquences particulières pour les communications mobiles dans les avions. Les lignes directrices ont permis aux compagnies aériennes de fournir des services de messagerie, d’appel et de données aux voyageurs voyageant dans l’UE. Cette dernière mise à jour de la décision d’exécution de la Commission sur les interactions mobiles à bord des avions ouvre la voie au déploiement généralisé des services 5G.
Surmonter les défis technologiques et de sécurité
Service 5G en vol sera proposé dans la cabine d’un avion équipé utilisant des dispositifs réseau uniques appelés picocellules pour connecter les utilisateurs et acheminer les appels, les SMS et les données entre l’avion et le réseau mobile au sol.
« Les passagers à bord des vols dans l’UE auront la possibilité d’utiliser leurs smartphones au maximum de leurs capacités et fonctionnalités, tout comme avec un réseau mobile 5G au sol », garantit la déclaration de la Commission.
« La 5G permettra des services innovants aux personnes et des opportunités de développement pour les entreprises européennes, a déclaré Thierry Breton, commissaire chargé du marché intérieur. « Le ciel n’est plus une limite lorsqu’il s’agit des possibilités utilisées par les super -connectivité rapide et de grande capacité. »
La Federal Communications Commission (FCC) des États-Unis a décidé en 2020 d’abandonner les stratégies visant à autoriser les services de voix et de données en vol via des fréquences mobiles sans fil. La décision était apparemment due à la vérité qu’il y avait une forte opposition de la part des pilotes et des agents de bord des compagnies aériennes pour des raisons de sécurité et de sécurité nationale. Il semble que leurs homologues européens ne partagent pas ces préoccupations.
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