Les flics canadiens ont mentionné mardi qu’ils examinaient les informations faisant état de « postes de police » chinois à Toronto pour des raisons de sécurité nationale.
L’examen vise à détecter d’éventuelles perturbations dans les intérêts canadiens, à la suite l’exemple des États-Unis et des Pays-Bas, qui ont autrefois publié leurs propres sondes. La présence de stations dans le monde entier a été signalée pour la première fois par la société de défense des droits de l’homme Safeguard Protectors en septembre.
Plus tôt en novembre, le Premier ministre canadien Justin Trudeau a pointé du doigt la Chine pour s’être livrée à des « jeux vidéo agressifs » avec le processus électoral national. .
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