BeFC dit qu’il « fabrique de l’énergie électrique avec du papier et des enzymes » – pile à biocarburant durable à base de papier et microélectronique respectueuse de l’environnement. Ses « biopiles à base de papier minces, légères et flexibles sont jetables, recyclables, respectueuses de l’environnement et économiquement viables ». De plus, ils sont assez charmants à regarder aussi.
La start-up française a levé un tour de financement de série A de 16 millions d’euros qui lancera sa phase commerciale et fera passer ces batteries en papier à la production de masse. Le tour de table a été mené par le tout nouvel investisseur Otium Capital et est composé d’anciens bailleurs de fonds Demeter, BNP Paribas Développement et Supernova Invest.
» Ce tour de table important est important pour BeFC pour franchir la prochaine étape vers l’industrialisation. Nous sommes heureux d’avoir des investisseurs industriels et techniques solides « , déclare le Dr Jules Hammond, PDG et co-fondateur de BeFC.
« Nous sommes ravis d’annoncer notre investissement financier dans BeFC , qui met en évidence notre ferme conviction dans la capacité substantielle de l’entreprise. L’innovation révolutionnaire de BeFC est sur le point de surmonter les obstacles des piles à usage unique. Les réalisations remarquables de l’équipe à ce jour s’alignent parfaitement sur notre ADN pour soutenir les entrepreneurs visionnaires conduisant une modification transformatrice. l’investissement financier souligne encore plus notre intérêt pour les métiers commerciaux à fort potentiel, une thèse que nous avons initiée l’an dernier, avec déjà plus de 40 millions d’euros dédiés », déclare Pierre Menard, Partner chez Otium Capital.
Avolta a servi de le seul conseiller monétaire de BeFC dans ce cycle de financement.
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