La UK Area Agency offre un coup de pouce financier de 2 millions de livres sterling aux organisations développant des innovations en matière d’expédition spatiale, notamment un réacteur spatial Rolls-Royce et l’innovation d’imagerie de Mars de l’Open University.
La 13 emplois soutenus par l’entreprise gouvernementale ont pour objectif d’accélérer l’expédition de la zone en améliorant l’innovation dans des domaines tels que l’énergie, la communication et les ressources.
Rolls-Royce recevra 249 000 ₤ du financement pour développer sa centrale électrique de zone. La centrale électrique serait utilisée pour alimenter la production d’eau, d’oxygène et de carburants pour fusées.
« Le soutien de la société britannique a joué un rôle déterminant pour permettre le développement continu de la Rolls-Royce Micro -Programme de développement de réacteurs », a déclaré Abi Clayton, directeur des programmes futurs de Rolls-Royce.
Rolls-Royce utilisera ses connaissances antérieures dans le domaine nucléaire pour construire un micro-réacteur autonome. La technologie pourrait également être utilisée dans le monde. Il s’appuie sur la collaboration existante de Rolls-Royce avec la UK Area Company pour développer des moteurs de propulsion nucléaire créés pour réduire de moitié le temps qu’il faudrait pour faire un voyage sur Mars.
Le ministre des Sciences et de l’Innovation, George Freeman, a dévoilé l’augmentation du financement dans le cadre de la British Science Week, qui se déroulera du 11 au 20 mars.
« En plus des progrès de la découverte, ces projets garantiront également que les individus ici dans le monde bénéficieront d’une toute nouvelle innovation, consistant en des micro- technologie de réacteur avec la perspective de soutenir nos engagements Net Zero « , a déclaré Freeman.
Les autres tâches spatiales pour recevoir le soutien du gouvernement fédéral consistent en 100 000 ₤ à Braided Communications, basé à Glasgow, pour développer un outil d’interactions sans délai dans entre la Terre et Mars.
Un autre travail est Moon-RISE, qui s’est vu attribuer 222 000 ₤ pour créer un robot qui recherchera de l’oxygène et de l’eau dans les roches de la Lune. Le robot utilisera le LIDAR (détection et variation de la lumière) pour cartographier la surface de la Lune et un LIBS (spectromètre à décomposition induite par laser) pour examiner la composition minérale.
Le Royaume-Uni a en fait investi 180 millions de livres sterling dans le cinq ans avant 2019 dans le cadre du programme d’expédition internationale de l’European Space Company et devrait construire des parties de la station spatioport d’entrée lunaire.
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