Je restaure et répare des vélos traditionnels pendant mon temps libre difficile à trouver. Parce que je suis un meilleur architecte cloud que mécanicien de motos, je me concentre davantage sur les modèles de conception pour chaque marque, conception et type de vélo qu’un autre individu. Ou, mieux dit, je regarde comment les marques et les modèles de motos font les mêmes choses d’une manière différente, à la fois complexe et basique, pour atteindre exactement les mêmes objectifs.
Je vois quand mes vélos ont des freins de roue avant avec 20 pièces mobiles et d’autres n’en ont que 5. Les deux systèmes arrêtent le vélo, mais la solution la plus complexe est plus susceptible de se casser et est plus difficile à réparer. C’est surconçu. Il atteint exactement les mêmes objectifs, mais à différents niveaux de dépenses et de risques. Il se peut que la même chose se produise dans le domaine du style et de la version du cloud computing.
La suringénierie est l’acte de résoudre un problème de manière sophistiquée ou compliquée par rapport à une solution plus simple qui peut démontrer la même efficacité et efficacité comme le style le plus complexe.
Une étude récente de Deloitte a révélé des faits intrigants sur les plans budgétaires de cloud computing. Vous penseriez que les budgets feraient une distinction fondamentale dans la manière dont les organisations exploitent avec succès le cloud computing, mais ce sont de mauvais signes pour prévoir le succès. Cela pourrait suggérer beaucoup de choses, je suppose que l’argent n’est pas associé à la valeur du cloud computing.
Dans de nombreux cas, cela peut être dû au style et à la sortie de solutions cloud extrêmement complexes lorsque des approches plus simples et plus économiques fonctionnerait beaucoup mieux pour obtenir la valeur ajoutée recherchée par la majorité des entreprises.
Si vous demandez aux ingénieurs pourquoi ils ont développé l’option de cette manière (qu’elle soit sur-conçue ou non), ils protégeront leur technique autour d’une raison ou d’une fonction que personne ne comprend cependant eux. Lorsque vous en arrivez à une architecture cloud de base – ou à n’importe quel style d’option d’ailleurs – cela se résume au point de vue et à la prédisposition. Beaucoup d’ingénieurs diraient que tant que cela fonctionne, qui se soucie de la façon dont il a été développé ?
Si vous avez réellement lu mes articles, vous comprenez déjà que je suis obsédé par les architectures cloud entièrement améliorées, qui indique trouver le service le plus rentable. Habituellement, cela implique de sélectionner l’option la plus basique en utilisant le moins d’éléments, celle qui n’est pas sur-conçue ou sur-thunk. Cela contraste avec un certain nombre d’architectures cloud de Rube Goldberg qui fonctionnent à peine et coûtent trois à quatre fois plus.
Il s’agit maintenant d’un problème systémique, qui s’est posé parce que nous avons très peu de concepteurs de cloud qualifiés. Les entreprises choisissent quelqu’un qui pourrait avoir réussi la certification d’architecture d’un fournisseur, ce qui les rend simplement compétentes dans un groupe très restreint de technologies et ne prend généralement pas en compte la grande photo.
Souvent, les organisations emploient les mauvais concepteurs d’options cloud qui sont obligés d’agir rapidement et de surconcevoir les options en jetant la technologie sur le problème juste pour que quelque chose fonctionne. Pire encore, ils ne posent pas de questions importantes et n’examinent pas par leurs pairs l’option permettant de déterminer s’il existe des voies moins compliquées et moins coûteuses pour atteindre exactement le même objectif.
De plus, ces personnes se concentrent généralement davantage sur la vitesse de mise en œuvre et les conférences scrum quotidiennes plutôt que d’obtenir un service simple et amélioré. Cela se traduit par des options de cloud plus compliquées, difficiles à utiliser et à sécuriser, qui coûtent beaucoup plus cher qu’elles ne le doivent pour être publiées et exécutées. Je parie que vous envisagez l’un d’entre eux en ce moment dans votre propre entreprise.
OK, maintenant que nous comprenons le problème, peut-être même convenons-nous qu’il s’agit d’un problème, que faisons-nous ?
Je ne suis pas sûr que la vitesse doive être l’objectif suprême lors de la conception d’un service de cloud computing. Nous devons chercher un service qui soit le plus amélioré, et nous devrions emprunter la voie la plus efficace pour y parvenir. Je trouve que de nombreuses entreprises mettent la vitesse au-dessus de tout. Cela s’est produit souvent pendant la ruée folle de la pandémie vers le cloud.
Le problème est encore une fois que les services sur-conçus fonctionnent généralement et sont donc considérés comme un succès, même lorsqu’un architecte qualifié comprendrait parfaitement que la méthode est quatre fois le coût et deviendra un problème mal interprété sur l’entreprise.
Je vous conseille de poser les questions difficiles et les services de difficulté que vous pensez être mal développés. Un trop grand nombre d’entre eux tuera votre organisation ; J’ai vu ça de première main. Si vous ne le faites pas, vous constaterez que, tout comme mes motos, les pannes sont plus fréquentes et nécessitent beaucoup de temps pour être réparées.
Toute l’actualité en temps réel, est sur L’Entrepreneur
