Le chancelier Rishi Sunak a expliqué le secteur des services financiers comme un « joyau de la couronne » sur un appelez récemment avec d’importantes banques britanniques. Lors de l’appel, Sunak a promis que la ville resterait « compétitive et dynamique » malgré toute pression post-Brexit sur le secteur des services financiers du Royaume-Uni. Si le Royaume-Uni veut consolider sa position de force, il est logique que les entreprises essaient d’apprendre des développements remarquables qui se produisent au-delà de l’Europe.
La fintech fait certainement partie intégrante de l’économie britannique, et analyse de KPMG a constaté que le marché représente 10 % de la part de marché mondiale et 11 milliards de bénéfices. Le design britannique actuel est définitivement bien établi et a longtemps été un projet pour d’autres marchés. Néanmoins, un article publié par un journal national britannique a souligné que la nation a également des difficultés en raison d’un manque de financement de démarrage, d’un accès restreint au financement à grande échelle accéléré par COVID-19 et d’une directive plus lente, il y a donc d’autres emplacements, en particulier autour de l’innovation réglementaire dans les innovations de nouvelle génération, qui sont mûrs pour la synergie. En d’autres termes, les hotspots fintech en dehors de l’Europe et d’autres marchés conventionnels doivent simplement être sur le radar pour les entreprises britanniques.
Un foyer de services financiers dont les fintechs britanniques peuvent profiter de près est la région du Golfe. Ici, des nations qui étaient autrefois des vairons par rapport au Royaume-Uni finissent progressivement par être des rivaux crédibles. Le rapport actuel de l’International Opportunity Index (GOI) du Milken Institute, qui évalue l’attractivité des pays pour les financiers internationaux, montre que les pays du Golfe progressent rapidement dans le classement mondial. Alors que Dubaï et Abu Dhabi sont en fait devenus incontournables, des centres d’innovation actifs axés sur la finance comme Bahreïn, qui a augmenté de 7 sites dans la catégorie des fournisseurs financiers mondiaux, sont sur les rails. L’Institute for Chartered Accountants d’Angleterre et du Pays de Galles a constaté en juin que Bahreïn devrait être l’économie à la croissance la plus rapide du Moyen-Orient cette année. Le PIB régional devrait croître de 2,4 % en 2021, contre une moyenne locale de 2,1 %. Ici, des installations de réglementation plus polyvalentes permettent aux services internationaux d’être actifs tandis qu’un environnement sandbox aide à la mise à l’échelle des options et méthodes spéculatives.
Bahreïn Fintech
Bahreïn est en fait connu depuis des décennies pour son secteur des services monétaires et est considéré par ses pairs du GCC (Gulf Cooperation Council) comme un centre d’innovation. La toute première succursale bancaire officielle de la région a ouvert ses portes à Bahreïn en 1920 et, aujourd’hui, près de 400 institutions financières l’appellent la maison de l’île. Le succès de la nation dans le secteur des services financiers est en partie dû à son régulateur financier unique pro-innovation, la Banque centrale de Bahreïn (CBB), qui a même créé un système spécialisé dans les technologies financières et le développement chargé de stimuler l’écosystème local. Parmi les principales avancées, citons l’introduction du tout premier bac à sable réglementaire fintech onshore de la région, l’une des nombreuses initiatives visant à fournir aux fintechs du monde entier une structure réglementaire favorable à l’innovation où les entreprises peuvent tester leurs services avant de les déployer sur les marchés mondiaux.
Lorsque vous pensez au fait que le Royaume-Uni compte parmi les principales scènes fintech au monde et que Bahreïn possède l’un des meilleurs bacs à sable fintech, il y a peut-être des collaborations extrêmement efficaces et enrichissantes à faire. Un banc d’essai approprié pourrait être le secret pour les fintechs britanniques qui souhaitent se développer à l’échelle mondiale et éventuellement terminer la phase mondiale tout au long de cette période incertaine. Conformément aux efforts enthousiastes de diversification économique à l’échelle régionale, Bahreïn s’est fait une plaque tournante attrayante pour des marchés stratégiquement cruciaux comme la fintech, ce qui se traduit par un gouvernement fédéral serviable et disponible et une population extrêmement formée et féru de technologie. Le Royaume est en fait depuis longtemps le leader local des services monétaires, mais il est également progressivement devenu le centre régional de l’innovation.
À un moment où les fintechs britanniques veulent déclarer leur position dans un incertain dans le monde post-pandémie et post-Brexit, il est vital que les entreprises cherchent au-delà de l’Europe des partenariats mondiaux solides. Un point de départ évident pour les entreprises britanniques est le partenariat avec des pays comme Bahreïn, qui offrent un banc d’essai et une opportunité distincte de prendre une longueur d’avance – et finalement, de sécuriser et de polir parmi les «joyaux de la couronne» du Royaume-Uni. En tant que partenaires de longue date du Royaume-Uni, les sables de la région du Golfe assurent des structures particulièrement robustes pour la prochaine génération de fintechs britanniques.
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