La commissaire britannique à l’information, Elizabeth Denham, a formulé des suggestions et abordé les problèmes liés à l’utilisation de la reconnaissance faciale en direct (LFR) dans les espaces publics britanniques dans un article.
Auparavant, la commissaire à l’information et à la protection de la vie privée pour Colombie-Britannique, Canada, avant de prendre le rôle du Royaume-Uni en 2016, Denham explique comment la défense des informations et la vie privée des individus doivent être au cœur de toute décision de déployer la reconnaissance faciale en direct.
La loi, composée de la législation nationale du Royaume-Uni variation du règlement général sur la défense des données (GDOR), place la barre haute pour justifier l’utilisation de LFR et d’algorithmes dans les endroits où nous achetons, socialisons ou collectons, compose Denham, et lorsque la technologie biométrique est utilisée pour numériser des images faciales, cela augmente le risque pour la vie privée des individus.
Denham exprime son inquiétude quant à la possibilité que le LFR doive être utilisé de manière inappropriée, excessive ou imprudente, soulignant l’effet significatif de la collecte de données biométriques délicate et massive. Parmi les utilisations discutées de LFR, citons la résolution des problèmes de sécurité publique et la production de profils biométriques pour cibler les individus avec des publicités personnalisées.
En 2020, le commissaire à la biométrie du gouvernement fédéral britannique a critiqué la mise en œuvre par la police métropolitaine de caméras équipées de reconnaissance faciale en direct. dans tout Londres, affirmant que la police ne devrait pas avoir libre cours sur l’innovation. De même, en 2019, les députés britanniques de la commission des sciences et de la technologie du gouvernement ont conseillé au ministère de l’Intérieur d’arrêter tous les essais de reconnaissance faciale biométrique en direct afin qu’une base juridique appropriée puisse être établie pour eux.
Enquêtes sur ces utilisations par le Commissariat a conclu qu’aucune des entreprises examinées n’était en mesure de valider le traitement et, parmi les systèmes mis en service, aucun n’était totalement conforme aux exigences de la loi sur la défense de l’information. Toutes les entreprises ont choisi d’arrêter ou de ne pas continuer à utiliser le LFR.
Denham fait plusieurs suggestions ; les organisations devront démontrer des normes élevées de gouvernance et de responsabilité dès le départ, notamment en étant capables de valider que l’utilisation de la LFR est raisonnable, requise et proportionnée dans chaque contexte particulier dans lequel elle est diffusée. Et ils doivent montrer que les techniques moins invasives ne fonctionneront pas. Les organisations devront également comprendre et examiner les menaces liées à l’utilisation d’une technologie potentiellement intrusive et son influence sur la vie privée et la vie des personnes.
Ces suggestions sont détaillées en détail dans le rapport complet.
Denham décrit que pour promouvoir la bonne gouvernance, l’ICO s’engagera avec le gouvernement fédéral, les régulateurs et le marché, ainsi qu’avec des associés internationaux pour soutenir la sécurité de l’information, protéger le public sans supprimer l’innovation.
Les informations complètes de l’opinion du commissaire reposent sur le point de vue de l’ICO 2019 sur l’utilisation du LFR par les forces de police.
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