Selon l’autorité antitrust, Google a choisi de ne pas éliminer une amende de 528 millions de dollars payée en 2015. La décision met fin à l’enquête de l’autorité sur Google, qui a autorisé à parler avec fil service et d’autres éditeurs à propos de les rémunérer pour l’utilisation de leur matériel sur sa plate-forme.
Le problème
Les éditeurs d’actualités soutiennent que l’exploitation de parties de leur matériel d’actualité en ligne était la force motrice derrière le croissance des ventes d’annonces en ligne de Google, les privant d’un flux de trésorerie possible lorsque les ventes d’imprimés étaient en baisse.
L’énorme tech a rejeté ces accusations, affirmant que le trafic en ligne qu’il fournissait aux sites d’actualités via son moteur de recherche et son agrégateur d’actualités conduisait de nombreux internautes vers des sites d’actualités, permettant aux éditeurs de développer leurs propres revenus publicitaires.
D’autre part, sous la pression de l’autorité nationale de la concurrence, Google a résolu le problème en passant des accords avec de nombreuses agences de presse de premier plan, dont les journaux Le Monde, Le Figaro et Freedom.
Google s’est effectivement engagé sur un plan de rémunération
Dans les trois mois suivant le début des discussions, Google s’engagera sur un plan de paiement ; si un contrat ne peut être conclu, le sujet sera résolu par un tribunal. La société américaine veillera également à ce que les pourparlers n’affectent pas la manière dont les informations sont fournies sur ses sites de recherche. Ce choix s’accompagne de pressions sur les sociétés Web comme Google et Facebook pour qu’elles partagent plus d’argent avec les organes de presse.
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