Le rapport souligne l’influence en termes réels sur la productivité déclenchée par le manque de support bureautique. Les participants à l’enquête font état de cycles réguliers d’épuisement professionnel, ainsi que de travail en dehors des heures d’ouverture pour compenser le temps passé à gérer leur état de santé pendant la journée. Indépendamment de cela, parmi les personnes interrogées, moins de la moitié (49 %) déclarent que les besoins spéciaux et les politiques relatives aux dépendances sont très importantes à leurs yeux, contre 53 % en 2015.
Cependant, le rapport montre également une progression d’année en année. -année de progrès dans des domaines particulièrement essentiels pertinents pour les personnes neurodiverses. Environ 40 pour cent des organisations interrogées disposent de processus de candidature alternatifs, contre 35 pour cent l’année dernière et 44 pour cent des organisations ont mis en place des méthodes neuro-inclusives, contre 34 pour cent en 2015. Il y a une augmentation de 7 pour cent de la variété des organisations. avec un engagement neuro-inclusif sur place. Cependant, 1 environnement de travail interrogé sur 3 n’a pas de dévouement central.
Une toute nouvelle section de l’indice 2024 étudie l’effet du travail sur la capacité des parents à offrir des soins appropriés à leurs enfants neurodiversifiés. Alors que 28 % des organisations déclarent n’avoir réellement fait aucun hébergement pour les parents d’enfants neurodiversifiés, 33 % déclarent avoir des stratégies pour les présenter à l’avenir.
Structure sur les suggestions récentes de la Buckland Review of Autism Employment , une évaluation complémentaire soutenue par le gouvernement pour les personnes autistes sur le lieu de travail, l’indice de neurodiversité suggère :
- « Intégrer » une pratique inclusive tout au long de la procédure d’embauche, depuis la présentation des descriptions de poste accessibles jusqu’à la formulation de questions. avant un entretien et une intégration complète.
- Recruter des « champions de la neurodiversité » au sein du bureau pour concevoir les meilleures pratiques, fournir un tout premier point de contact pour les associés cherchant des conseils et accroître la représentation.
- Déployer une formation obligatoire sur la neuro-inclusion pour tous les gestionnaires et hauts dirigeants afin de garantir qu’elle soit prise en compte dans la prise de décision organisationnelle.
- S’assurer que des aménagements physiques, technologiques et de communication sont en place pour aider tous les travailleurs à accéder à tous les éléments du lieu de travail.
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