L’étude déclare également qu’il existe des différences sectorielles notables, avec près de 80 % des activités monétaires visant un rendement plus régulier d’ici le milieu de l’année. En revanche, plus d’un tiers des entreprises technologiques permettent à la procédure de suivre son cours sans définir de délai.
Alors que des délais sont en place pour le retour, les organisations privilégient clairement le choix plutôt que l’obligation. Seulement 6 % des entreprises interrogées exigent que les travailleurs retournent au bureau à temps plein, 70 % permettant soit un retour volontaire au bureau à la discrétion des travailleurs, soit un retour à temps partiel.
Une majorité (72%) des entreprises déclarent s’orienter vers un modèle de travail hybride dans lequel les travailleurs ont une démarche de choix dans le cadre de l’accompagnement de l’entreprise. Non seulement cela est nettement plus élevé qu’en 2015 (55 %), mais la majorité d’entre eux affirment qu’il y a une forte approbation de ce poste par la suite C et près des deux tiers (65 %) disent que la croyance s’est vraiment renforcée dans cette direction au cours de la pandémie.
Indépendamment de leur emplacement, une variété croissante d’entreprises prévoient également l’expansion de leurs portefeuilles. Il y a un an, un tiers des entreprises prévoyaient une expansion physique au cours des 3 prochaines années. Ce chiffre est en fait passé à plus de 40 % en général, ce chiffre passant à 60 % dans le secteur de l’innovation.
Les changements du marché ont également accru la popularité du marché du lieu de travail flexible. Le pourcentage d’entreprises pour lesquelles la zone flexible représente moins de 10 % de leur portefeuille a été réduit de moitié, passant de 86 % maintenant à 41 % prévu dans 2 ans.
Près de 90 % des personnes interrogées ont indiqué qu’ils apporteraient des modifications à leur stratégie immobilière en raison de la pandémie. En lien avec cela, l’enquête a également suggéré la valeur croissante de la technique de bureau par rapport à la même durée un an plus tôt. Les entreprises cherchent progressivement à augmenter les emplacements collectifs, passant de 36 % à 63 %, et revoient les normes de conception (passant de 22 % à la moitié). L’amélioration ou l’augmentation des caractéristiques du lieu de travail (de 9 % à 36 %) et la modification des aménagements pour offrir plus d’espace ouvert ont également gagné en popularité. L’étude a également indiqué un désir accru de mettre davantage l’accent sur la santé et la santé, 41 % des services citant cela comme étant important.
Toute l’actualité en temps réel, est sur L’Entrepreneur