Le tout premier commissaire à la biométrie d’Écosse a en fait préparé un code de pratique statutaire « première mondiale » pour l’utilisation des informations biométriques dans la police et la justice pénale et a créé un groupe autour de lui, et il est maintenant selon une interview pour FutureScot.
Moins d’un an après le début de sa période de huit ans, l’ancienne autorité principale, le Dr Brian Plastow s’est en fait concentré sur les principes entourant la collecte, le stockage et l’utilisation de la biométrie dans la police en Écosse. Son projet de code statutaire développe une structure décisionnelle permettant à la police de déterminer si une nouvelle technologie ou une adaptation serait proportionnelle ou légale.
Le projet sera présenté au Parlement écossais le mois prochain et pourrait avoir une influence ailleurs dans le monde. La reconnaissance faciale en direct n’est pas légale en Écosse et Plastow doute de certaines de ses utilisations en Angleterre et au Pays de Galles, mais ne la rejette pas d’emblée pour l’Écosse.
Si elle était digne de confiance, dépourvue de parti pris et validé séparément, cela pourrait être un outil utile.
Les opinions négatives du commissaire sur l’utilisation de la biométrie au sud de la frontière ont été critiquées en Écosse, selon FutureScot, car elles nuisent apparemment à la confiance dans l’objectivité de Plastow. Il a également signé avec le commissaire britannique à la biométrie pour préciser que l’utilisation de la biométrie par la police est une préoccupation trop complexe pour que le régulateur actuel puisse s’en occuper.
Le commissaire mentionne que la technologie se développe beaucoup plus rapidement que la législation peut être mis à niveau, et donc une structure de réflexion sur l’utilisation des nouvelles technologies doit la ramener à l’examen éthique au préalable.
Plastow a en effet réuni une petite équipe de consultants et créé un site pour discuter de la biométrie et préoccupations associées pour expliquer la situation en Écosse au public. Le travail d’étude détermine ses instructions sur la manière d’aider l’Écosse à comprendre, restreindre ou accepter la biométrie.
En fin de compte, il déclare qu’il a l’intention de trouver un équilibre entre une police fiable et le respect des droits de l’homme.
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