La Commission européenne a révélé un examen principal d’AliExpress dans le cadre du DSA. Plus précisément, la commission souhaite savoir si AliExpress, qui fait partie du groupe Alibaba, vend des produits interdits. Il s’agirait de faux médicaments, d’aliments illégaux et de compléments alimentaires interdits.
Le prestataire de la plateforme de vente en ligne enfreindrait la loi dans plusieurs domaines. La commission mentionne des infractions « dans les domaines liés à la gestion et à l’atténuation des risques, au contenu des petits montants et au système interne de gestion des plaintes, à la transparence des systèmes de publicité et de recommandation, à la traçabilité des commerçants et à l’accès aux données pour les enquêteurs. «
La politique publicitaire de LinkedIn en cours d’analyse
La Commission européenne rapporte avoir été avertie d’un possible abus de données sensibles dans les publicités ciblées sur LinkedIn. Des groupes de défense de la vie privée ont soumis un problème sur ces questions il y a quelques semaines, et ce grief a été donné suite. Un représentant de la commission a déclaré que des informations supplémentaires avaient été demandées à LinkedIn. La plateforme a jusqu’au 5 avril pour transmettre des informations.
Le DSA a été criminalisé depuis le 17 février. Depuis lors, les groupes d’intérêt et les utilisateurs de la plateforme ont pu dénoncer d’éventuelles violations. Une infraction entraîne une amende équivalente à 6 pour cent des ventes annuelles.
En même temps que la loi est devenue punissable, son champ d’application s’est élargi. Toutes les plateformes en ligne sur lesquelles des produits et services sont proposés doivent en effet respecter la législation.
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