parlement français a été exhorté à ne pas envisager de publier une reconnaissance faciale à l’occasion des Jeux olympiques d’été de Paris 2024 par Marie-Laure Denis, présidente de la CNIL (Commission nationale de l’Informatique et des Libertés).
Selon les informations de franceinfo, la présidente de l’autorité française de défense des données a pointé du doigt un coût examiné mardi au parlement, déclarant avoir écrit à le parlement exposant ses raisons contre le déploiement de la reconnaissance faciale et d’autres innovations de surveillance aux Jeux olympiques de 2024.
En particulier, Denis a déclaré que bien que l’amendement consistant en une reconnaissance faciale des coûts ait été rejeté par la commission des lois du Sénat, il peut toujours revenir en session plénière.
En termes simples, alors que les dépenses dans son état actuel n’inclut pas la reconnaissance faciale, il ne restreint pas l’utilisation de « l’intelligence artificielle pour faciliter le travail de p protéger les concurrents. »
L’avertissement est intervenu quelques heures avant le début de la session plénière du Sénat, qui a voté mardi la loi introduisant de nouveaux pouvoirs de sécurité pour l’État.
Au cours de la l’année dernière, la France a connu une poussée visible vers l’adoption de la reconnaissance faciale. En juillet 2022, par exemple, le maire de Nice a exigé la libération de telles technologies pour éviter des situations comparables aux affrontements au Stade de France.
Plus récemment, cependant, une séance de la commission du Sénat a révélé qu’il y avait encore désaccord important dans le pays entre les législateurs qui envisagent de libérer la reconnaissance faciale et ceux qui, comme Denis, le considèrent comme un outil de sécurité extrême.
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